Journal de Seth Morgan

Le vice d'une vie... la perte d'une amie...

Comment expliquer mes actes déloyals,
La culpabilité me ronge de l'intérieur,
Tu te sens fier, au toi qui se régal,
Regarde moi a présent si impuissant je me meurs,

Tel un démon tu m'as abordé,
Tel un innocent je me suis fait "baisé",
Ton plan a fonctionné,
Ma vie elle... s'est effondrée...

Des coeurs, j'ai su en brisé,
Pour ensuite mieu les réparer,
Mais toi tu agies réellement en "trainé"
Jamais, jamais tu ne pourras changer...

Il est trop tard, les dommages ont été faits,
J'ai du remord... On ne peux plus face a ce méfait,
Pourquoi nos vie se sont elles croisés,
Jadis j'en avais encore les yeux fermés,

A présent je suis dépourvu,
Une fois de plus, j'ai tout perdu,
Dont ma blonde Cassie,
Celle pour qui j'aurais donné ma vie,

En enfer nous nous retrouverons,
Toi qui un jour fut nommé Anaïs,
Lucifer, tel sera ton nom,
Au plus profond de l'enfer, du vice,

Mon âme périra, une fois de plus,
Sous ton emprise, sous tes services,
Tu as causé ma perte,
Ensemble nous errerons inertes...

(je me sentais inspiré ak les derniers évennements..)

Les ailes de la liberté

Le vent s’élève dans toute sa splendeur,
Déposant son glas sur les passants avec ardeur,
Il découvre peu à peu sa fureur,
Il est seul, unique, sans peur,

Il glisse, glisse d’un océan à l’autre,
À travers les cieux,
Déployant ses ailes vers les dieux,
Il vogue plus hauts que tout astronautes,


Il est enfin affranchi,
Il savoure chaque instant,
Avec un regret incessant,
Comment a-t-il pu se permettre cet ennui ?

Durant ces années, ces écennies,
Ses ailes furent closes,
Cloué au sol par la culpabilité morose,
Des jours sombres, tristes et infinis,

Mais aujourd’hui sa pensée est définie,
Rejoindre celle qu’il a chérie,
Dans des temps antérieurs,
Dans un monde meilleur !

Le fléau de toute ma vie

Comment expliquer ce sentiment,
Serait-ce de la tristesse,
Ou un élément de détresse,
Je le ressens dans ma chair, dans mon sang,

Elle m’empêche de dormir la nuit,
Elle me pousse à l’extrême chaque jour,
Mon énergie me délaisse à son tour,
Je me ronge, j’en pleure et j’en cri…

Car la maladie m’a tout pris,
Elle est le fardeau de toute ma vie,
La seule chose qui me nuie,
Et qui peu a peu m’affaibli,

N’ayons pas croire en ma perte
Je ne suis point le plus fort,
Déterminé, je le suis certes,
Pour vous je resterai à bord,

Croyant d’avantage à mon retour,
Je ne vous ai quitté en vain,
Planifiant mon petit détour,
Pour mieux vous retrouver demain,

Mes enfants, mes amis,
Tout ceux qu’un jour j’ai chéris,
À mes côtés je vous en supplie,
Nous vivrons une nouvelle vie,

Dans le courage et non la peur,
Nous l’affronterons uni dans nos coeurs,
Ce fléau qui un jour s’est abattu,
Dans nos vies pour cause, une peine perdu