Journal de Seth Morgan

Flood: oui !
[si vous aimez pas la poésie, svp venez pas voir ca]


Un océan de solitude

Une autre journée vient de dériver,
De mon entiter, je la vois s'éloigner,
J'essais de nager, pour enfin pouvoir la rattraper,
Rien a faire, me voilà une fois de plus en train de me noyer,

J'ai beau crier à m'en époumoner, tous s'éloigne de moi,
Je suis à présent submerger, par l'ennuie, la fatigue, la solitude,
Le poids supporter ne me réconforte guère, Oh j'ai si froid,
Sur qui vais-je bien pouvoir compter pour me vider de cette amplitude,

En ces lieux sombres et mal-aimés,
Dois-je te dire a quel point tu me sembles la seule porte de sortie,
Dois-je te dire a quel point ces journées passées ensemble m'ont tant guérie,
Chaque fois que l'on se côtoit, mon coeur essait de s'extirper,

Mais tout ceci ne m'est qu'éphémère,
Puisque jamais tu ne l'as remarqué,
Tous ces pièges que j'ai su te laisser,
N'ont fait que m'enfoncer d'avantage sous terre,

En ces profondeurs, la disgrace face à la vie n'est que des plus présente,
Il ne me reste plus qu'à perde le peux de souffle qu'il me reste,
Pour en finir avec ma vie qui me semble répugnante,
C'est le pourquoi je divulgue ceci en ces quelques gestes,

Malgré ma mort, douce ou pénible,
L'écho de ma voix résonnera en ce monde,
Ton nom en portera les dernières paroles perceptibles
Eh ce tant que la terre sera ronde,

Car mon être ne se peut plus,
Enfin je crains n’être que trop déçu,
D’entre les morts je crains d’être revue,
Regarde à quel point je ne me retiens plus,
Il me faut à tout prix trouver une issu,
C’est là la seule solution voulue…

* Si seulement elle je pouvais le retrouver... ou peut-elle bien être*

Endormi je te poursuis

Qu'entends-je, est-ce le plus merveilleux des sons,
Serait-ce les syllabes de ton nom ?,
Oh toi pour qui mes jours me font fuire l'horizon,
Me voici au loin, en plein coeur de la moisson,

Suivant jour après jour l'écho de ta voix,
Me voici à cent lieux de mon chez-moi,
Peu importe jusqu'où tu me mèneras je crois en toi,
Ma vie n'est que tienne, à toi d'y faire la loi,

Les fleurs qui me cajolent les pieds,
Ne sont d'égales à ta beauté,
Ses couchés de soleil me font souffrir à chaque fois,
Car chaque nuit, je ne fais que des plus penser à toi,

En ce rêve qui me parait inachevé,
Je ne tiens point à me réveiller,
Tu me sembles si proche ici en ces lieux,
Voilà ce qu'est mon unique voeu,

Cependant à mon réveil tout ceci sera du passé,
Mais cela durera jusqu'a la prochaine nuitée,
Élue de mon âme je t'ai proclamé,
Élue de mon âme tu ne seras jamais oubliée...

Pour une dernière fois

Une lune s’éveillant tranquillement,
Déposant ta tête sur mon épaule dignement,
Nous voici maintenant seul tout deux,
Relaxant doucement autour du feu,

Ce moment me paraît unique,
Si simplement je pouvais lire tes pensées,
Y goûter ces idées athées,
Ce feu brûlant ardemment,
En nos cœurs il est si bourdonnant,
Laissez moi à jamais vivre se paysage féerique,

Le matin approche promptement,
Mon âme se désagrège subitement,
Comme la braise de notre cœur,
Les battements arythmiques du feu se meurent,
Mes pensées se troublent alors,
Pour laisser place à ce qu'on appelle la mort,


Les lueurs du soleil sur ton visage,
Ton sourire radieux s’éloignant dans les feuillages,
Au-delà de tous ces rivages,
Une nuée se dispersant tranquillement dans les parages,


Voilà simplement une âme de plus à la dérive,
Recueilli par les pêcheurs des abîmes,
dépossédé de l’être tant convoité,
Je t’attendrai, toi qui par une nuit rarissime,
Me ramena à la vie afin de goûter,
Une fois encore à une passion furtive...

Jadis...

Jadis, tu hantais mes pensées,
De ces échos bourdonnant,
Qui ont su en traverser le temps,
Notre histoire encore, la voici répétée...

Princesse, tu me sembles avoir été nommé,
Regardant la glace, je ni vois qu’un simple écuyer,
Comment pourrais-je te délivrer,
De façon à pouvoir me démarquer,

De tous ces princes charmants,
Me paraissant des plus clément,
Unique suis-je avec ces paroles douces comme le miel,
Provenant tout droit du plus bel arc-en-ciel,

Du haut de ta tour,
On perçoit les scintillements de tes cheveux,
On voit là un noir des plus soyeux,
Qui donc pourrait se lasser de les voir jours après jours,

Me voici donc seul troubadour,
À essayer de te faire la cour,
De mon arc je te délivrerai,
De ta flèche mon cœur fut transpercé,

Me vidant peu à peu de mon sang,
Je me hisse sur mon cheval blanc,
Toi seule peux me guérir de cette blessure,
Toi seule, être au cœur le plus pur,


Sens-tu cette magie nous enivrer ?
Elle est partout autour de nous deux,
Mais pour cela je dois continuer de travailler,
Il s’agit là du seul endroit où je me sens heureux...


Réincarné nous voici à nouveau,
Et ce conte figure parmi les plus beaux,
L’histoire tient toujours,
La voici qui reprend ton amour....

Temps Mort


L’heure a enfin sonnée,
L’issue est sur le point de se refermer,
Agir, voilà la solution à mon désir,
Le temps est compté, je commence à périr,

L’horloge de mon cœur s’est arrêtée,
Le premier jour ou je t’ai rencontré,
Maintenant qu’elle est brisée,
Il n’en tient qu’à toi pour la réparer,

Telle la grande aiguille,
Je tourne sans cesse en rond,
Tel un cœur qui s’émoustille,
Peu à peu j’en fonds,

Ta présence sait m’émerveiller,
De ton être tu sais me cajoler,
Il ne suffit que de la paume de ta main,
Cette chaleur, qui me nourrit à ma faim,

L’heure a enfin sonnée,
L’écho de ma voix a su te réveiller,
Encore une fois, je suis là à tes côtés,
Pour une journée, pour l’éternité...

Hier encore


Hier encore, les jours étaient longs,
Hier encore, nos cœurs étaient bons,
L’hiver est maintenant chose acquise,
Tombe, tombe beauté exquise,


De mon coeur, tu t’es détachée,
Sur le pavé, tu t’es déposée,
Hier encore, le temps était beau,
Hier encore, nos yeux étaient clos,


Tourmenté me voici maintenant,
Aveugle suis-je simplement,
Hier encore, l’hiver était présent,
Hier encore, j’étais clément,


Sous la pluie de printemps,
Tu te fonds tristement,
Hier encore, mes sanglots se dispersaient,
Hier encore, le vent nous éloignait,


De mes hauteurs j’ai beau chercher,
Dans mon cœur tu t’es retrouvée,
Hier encore, l’on m’a dépourvu
Hier encore, nuage je fus...

Ivresse D'amour
-
La voici me reprenant,
La voici m’en extirpant,
Cette ivresse d’amour qui m’anime,
Chaque jour où je déprime,

Cette fraîcheur nouvelle,
Ce doux parfum éternel,
Sur ce corps irrésistible,
La rende si perceptible,

Sombre et obscur,
Ces yeux si purs,
Miroitant et éclatants,
Ce sourire si étincelant,

Ce sont la les choses qui m'inspire,
Mais chaque fois je pense au pire,
Quand vais-je donc avoir le courage,
Pour te faire part de ces ouvrages,

Dédiés à toi, fille dont j’ai rêver,
Tout au long de cette dernière année,
Ces paroles divines,
Ces vers sublimes,

En sont là que le début de ma passion,
Où bien serait-ce de ma mission ?
Qu’importe l’objectif,
Mon artillerie est des plus passif,

L’angoisse est si intense,
Que j’en perds souvent mes sens,
De héro à zéro,
Je retombe au premier niveau,

Nous revoici, cauchemar d’amour,
Fermant ta clé à double tour,
Pourquoi est-ce si long ?
Si nos cœurs se font si bons,

Jalousie...

Frappez à nouveau de ce sentiment,
Impossible d’en retenir la colère s’en émergent,
Jalousie, pourquoi m’es-tu si suffoquant,

Insensible aux cœurs indolents,
Le mien se meurt à l’idée d’un prétendant,
Jalousie, pourquoi te fais-tu si présent,

Redoublé d’ignorance, mon cœur s’éprend
Relatant ces si bons moments,
Jalousie, pourquoi suis-je insolent,

Mécène au-delà du temps,
Unique suis-je simplement,
Jalousie, pourquoi être si clément,

Délaisse-moi l’espace d’un instant,
Goûter la joie d’aimer aisément,
Jalousie, pourquoi me percuter à chaque mouvement,

Libre, tel est mon désire sincèrement,
Délaisse moi au risque d’un effondrement,
Jalousie, pourquoi si cruellement…

Dieux, et malheureux

Tel une poussière dorée,
Les cieux se décident enfin à pleurer,
Nous sommes leur création,
Nous causerons leur destruction,

Regardez-les, ils nous implorent
Une fois encore, et nous on les ignore,
Telle une poussière glacée,
Ils en sont frigorifiés,

Pourquoi l’argent est-il si important ?
En ce monde il est roi pourtant,
Regardez-les, leur cœur est chambranlé,
Ils ne cesseront jamais de sangloter,

Tombe, tombe tel un fardeau,
Pour tous ces beaux salots,
Qui n’ont jamais porté attention,
À ce lieu qui nous est si bon,

Tel un mouvement incontrôlable,
Les industries sont exploitables,
Telle une ressource inrenouvelable,
Notre Terre est irrécupérable,

Qu’avons-nous fait ?
L’humain n’est guère parfait,
Cependant il est allez trop loin,
C’est d’ailleurs ce qui causera sa fin,

Regardez-les pour une dernière fois,
Ils nous avaient pourtant prévenu,
Il neige aujourd’hui sur nos toits,
Ils célèbrent la mort d’un peuple disparu…

Carburant des fous
-
Le voici rehaussant ça finesse,
Le voici flamboyant l’ivresse,
Son prix est tel l’or,
Essence il ne s’agit qu’alors,

Des millions ils en font,
Chaque jour, sur notre front,
J’en ai le goût de vomir,
Chaque hausse me fait frémir,

Fin de semaine en vue,
Il sera certainement disparu,
Car la hausse en sera l’excuse,
À sa rareté, ils en abusent,

Mais voyons esclaves, Réveillez-vous,
Sur notre dos, ils font les fous,
Nous contrôlons leur rentabilité,
Nous avons la force de les renverser,

Têtes à turbans,
On vous haïe en sacramant, [dsl, je ne tiens point à offenser quelqu'un]
Pendant que certains s’empiffrent,
La vie de d’autres peu a peu s’effrite,

Des gens s’explosent,
L’argent elle s’endosse,
Sur le dos d’un pays,
Le pétrole lui jailli,

Le comble du bonheur,
Certain n’ont pas de cœur,
Au lieu de dépenser pour s’entraider,
Ils préfèrent allez tuer,

Vous avez sans doute devinez,
Bush et ses alliers,
Dépensons en frais d’armée,
Plutôt qu’en scolarité,

Voilà un bon moyen utilisé,
Pour les enrôler dans l’armée,
Une fois privatisée de tout,
Ils reviendront à genoux,

Tout ceci, pour une simple ressource,
Qui donne à plusieurs la frousse,
Fluide avide, noir est ta couleur,
Fluide avide, noir es-tu en mon cœur…

Pardon

L’univers entier nous est présenté,
Il n’en tient qu’à nous d’en profité,
Laisser sa marque avec fierté,
Pour que les suivants se sentent inspirés,

L’amour nous pousse à agir,
La jalousie, elle, nous fait frémir,
Profitez de chaque moment passé,
Au côté des êtres que vous aimez,

Sa clémence est telle sa démence,
Car un jour proche ou lointain,
Ce sera moi le prochain,
L’imminence de ses actes ne laisse aucune chance,

Pardon pour ces actes irréfléchis,
Pardon pour mes crimes,
Ils n’en sont que le fruit de mon génie,
Le fruit de ma déprime,

Repensons à tous ceci,
Repensons à cet ennui,
Mais quand donc sera venu mon jour,
Cette mort qui nous frappe tour à tour,

The sky is still crying…

I don’t know why,
I've never see the sea,
But it is where I want to be,
To see your face, your eyes,

No one could wake me up,
I’m still dreaming of you,
I don’t want to woke up,
I never be so close to you,

How long would it last ?
How many years should it past ?
You’re the best I ever see,
With you I feel so free,

But I don’t know why,
We are so far in this sky,
In this huge world,
You’ll never heard my voice,

Awesome was our first meeting,
Too much are we spending ?
I never feel this before,
I want you so more,

To touch you,
To feel you,

I want to hear your voice,
This angel melody,
If I could only make a choice,
You should be close to me,

I need you,
All my life for you,

Eyes on me (Par Faye Wong)

Whenever sang my songs
On the stage, on my own
Whenever said my words
Wishing they would be heard
I saw you smiling at me
Was it real or just my fantasy
You'd always be there in the corner
Of this tiny little bar

My last night here for you
Same old songs, just once more
My last night here with you?
Maybe yes, maybe no
I kind of liked it your way
How you shyly placed your eyes on me

Oh, did you ever know?
That I had mine on you

Darling, so there you are
With that look on your face
As if you're never hurt
As if you're never down
Shall I be the one for you
Who pinches you softly but sure
If frown is shown then
I will know that you are no dreamer

So let me come to you
Close as I wanted to be
Close enough for me
To feel your heart beating fast
And stay there as I whisper

How I loved your peaceful eyes on me
did you ever know
That I had mine on you

Darling, so share with me
Your love if you have enough
Your tears if your're holding back
Or pain if that's what it is
How can I let you know
I'm more than the dress and the voice
Just reach me out then
You will know that you're not dreaming

Darling, so there you are
With that look on your face
As if you're never hurt
As if you're never down
Shall I be the one for you
Who pinches you softly but sure
If frown is shown then
I will know that you are no dreamer

[Mise en garde cette chanson fait brailler... du moins si vous connaissez final fantasy 8]
(écouter la chanson : http://alexis.moulaert.free.fr/Eyes%20On%20Me.rar)

(Version accoustique (pour la joueuse de guitar )
http://alexis.moulaert.free.fr/eyesguitar.rar)

C'est vraiment tres beau Seth!

L'ultimatum est lancé

Une autre journée passé,
Une blessure s'est agravée,
Mes actes vont-ils être posés ?
Ma mort sera-t'elle prématuré ?

La frustration est en mes veines,
La déception nourrit mon sang,
J'ai eu beau tout essayer pourtant,
Me voici seul au beau milieu de ses plaines,

Mes amis, loin déjà,
Jamais tu ne les reverras,
J'aimais tu ne les resentiras
Tu es perdu Seth, seul là-bas,

Ton monde s'écroule,
Dalle par dalle,
Tout s'écroule,
L'eau peu à peu se trouble...

Un seul fil te retient,
Une seule personne intervient,
Elle est ton seul espoir,
Il faut à tout prix la revoir...

Aucun chemin ne t'y conduira,
Nul ne le pourra,
Aucun doute, la mort est proche,
Il ne sert a rien de s'attacher,
Souffrances ne seront que décuplées..

(Subtil la fin n'est-ce pas ??? :P:P:P... héhéhéh)

[Et avec S-A-C-H-A sa donnerait quoi? ]

[Sauvez moi,
Au plus sacrant,
Chez pas quoi faire,
Hippocrite es-tu,
A veut ma mort, ]

[Mauvais!

Sensuelle
Allucinante
Canon
Hyper sexy
Asser dure a resister!

Voila ce qui me ressemble!

Sale,
Amature,
Capricieuse,
Hyper-énervé,
Ancien-jeu,

[Tsss mauvais.. jcomprend pkoi jtaller voir ailleur!]

[C'est ca... quand sa marche pas a ton gout va te frotter sur les autres..]

Sans titre

Douleur, ce mot m'est de plus en plus évocateur,
En ces lieux, sinistres, j'ai peur,
Tant de jours se sont écoulés,
Renfermer sur moi, j'ai pleuré,
Encore une nuit sans dormir,
Seul, je vais en mourir,
Seul, tel est mon destin
Encore seul, jusqu'au matin,

Au dela de tout ces êtres humains,
Nul n'a su me réconforter,
Aucun ne m'a épaulé jusqu'au lendemain,
Irrécupérable suis-je ? Viens me sauver !
Se serait digne d'un des plus beaux rêves,

Sans toi, Seth n'est plus,
Au contraire, un monstre fait surface
Un monstre qui lui n'a pas sa place
Vivre sans toi, c'est être perdu,
Etre seul, il s'agit là de la mort...

Meilleur sont mes jours à tes côtés
Occulte sont mes nuits si distancé,
Il me faut ta présence À TOUT PRIX...

[Je concède que le texte est moche en soi... mais la conception était pas mal ''Rock and Roll'']

Tel un éclairage obscure

Délectable es-tu de ton regars noir,
Chaque jour, nous nous croisons,
Cotoyant mes bribes, en ce moment,

Dehors tu es présente, je peux te voir,
Maturité tu atteints chaque instant,
De ta robe se détache quelques 'tisons',

Chaque mois l'on perçoit ton 'sourire',
L'espace d'un moment, il me fait frémir,

Tu es la reine des damnés,
Celle qui sait nous faire pleurer,
Mélancolie, tu en est l'appuit,
C'est pourquoi plusieurs te défie,

Certains t'apellent de leurs cris,
Moi je te vois tel le mépris,

Tel un fléau sur notre monde,
Peu à peu celui-ci s'effondre,
Seul sommes-nous en ta présence,
Un 'oeil' se porte à l'occasion,
Sur nous, fidèles qui n'attendent que réticence,
Sur nos actes déloyales, nos infractions,

Un autre monde se présente à nous,
À chaque nuit, celui-ci devient fou,
Ton emprise nous prive de nos désirs,
Chaque nuit nous rapproche de notre destin, Mourir...

hum, il faut croire que la vie prend parfois des tournures innatendu... Je crois bien avoir trouvé la bonne personne... Du moins, je l'espère plus que tout au monde...

Je t'aime Cassie ...

"The Haunting"
par Kamelot


Merely the sound of your voice
made me believe at, that you were her
just like the river disturbs
…my inner peace
Once I believed I could find
just a trace of her beloved soul
Once I believed she was all
then she smothered my beliefs

One cold winter’s night
I may follow her voice to the river
leave me for now and forever
leave while you can

Somewhere in time
I will find you and haunt you again
like the wind sweeps the earth
Somewhere in time
when no virtues are left to defend
You're falling deep
I was a liar in every debate
I rule the forces that fuelled your hate
when the cold in my heart leaves
it comes to an end
And quietly I’ll go to sleep

How could that first time recur
when memories linger on
what made me think you were her
Helena is dead to all
nothing can bring her to life

don't pretend that i'll be loving you
once I believed she was gone
but I’m corrupted from within

Leave, leave me for now and forever
Live while you can

Somewhere in time
I will find you and haunt you again
like the wind sweeps the earth
Somewhere in time
when no virtues are left to defend
You're falling deep
I was a liar in every debate
I rule the forces that fuelled your hate
when the cold in my heart leaves
it comes to an end
And quietly I’ll go to sleep

Follow me into the light
leave me tonight
I’ve gone too far to begin all anew
With someone like you

Somewhere in time
I will find you and haunt you again
like the wind sweeps the earth
Somewhere in time
when no virtues are left to defend
You're falling deep
I was a liar in every debate
I rule the forces that fuelled your hate
when the cold in my heart leaves
it comes to an end
And quietly I’ll go to sleep